Ici, nous souhaitons vous parler d’une voie très appuyée sur le plan scientifique et, pourtant, trop oubliée: l’amélioration des risques de fausses couches, car s'il reste encore beaucoup d’inconnus, la science a tout de même statué sur des risques!
Cette homocystéine, qui est une molécule toxique, dans un organisme qui fonctionne bien, se transforme en glutathion, molécule hautement protectrice.
Si celle-ci n’est pas en capacité de se transformer, en raison de troubles de la méthylation et, souvent, de mutations sur le gène MTHFR, son niveau risque d’augmenter avec un effet délétère sur la fertilité. De nombreuses études corrèlent le taux d’homocystéine au risque de fausses couches récurrentes.
Une cohorte[3] sur plus de 3500 femmes enceintes réalisée en 2019 a également montré qu’une homocystéinémie élevée peut favoriser, pendant la grossesse, un risque augmenté de survenue de pré-éclampsie.
En résumé, le taux d'homocystéine sanguin semble être un marqueur du bon déroulement d’une grossesse dès le début de celle-ci. Pourtant, ce marqueur si utile est souvent oublié dans les bilans sanguins, même quand il y a déjà eu des fausses couches. Quel dommage!
Les normes conseillées elles-mêmes ne sont pas non plus adaptées à la période de conception. Alors que la plupart des études parlent d’objectiver un taux d'homocystéine le plus bas possible, en deçà de 9, un bilan classique vous donnera une norme allant jusqu’à 12...
Plan de l'article :
Que faire en cas de fausses couches?
Comment? Tout d’abord avec un apport en vitamines B9 et B12 méthylées, comme celles contenues dans notre complément alimentaire “chouchou” le Concept 1 de Nutryn (- 5% avec le code: FERTILIN).
Sans oublier une amélioration de l’hygiène de vie, du travail de métabolisation et détoxification hépatique.
Le programme de préconception InConcept a été conçu pour scanner les voies d’amélioration de votre conception. Il permet déjà, chez l’ensemble des utilisateurs, d’abaisser le taux d'homocystéine et de préparer ainsi une grossesse optimale.
L'homocystéine est un des marqueurs du risque de fausse couches, mais il en existe d’autres... Dans le InConcept, chaque piste est investiguée et améliorée de façon personnalisée dans chacun de nos programmes.
Après 6 fausses couches en 2 ans, Marie témoigne...
Un jour elle nous a écrit et nous a raconté son histoire douloureuse. 6 fausses couches, en deux ans à peine.
L’impression d’avoir tout tenté, des bilans poussés, un protocole Matricelab, puis plus vraiment d’espoir... et même la peur de tomber enceinte à nouveau et que ça recommence... encore.
Puis je lui ai posé 3 questions, et j’ai compris, que malgré une hygiène de vie tout à fait correcte, une grande partie du problème devait venir du terrain. Quelques jours après elle commençait son programme InConcept. Avec déjà, au bout d’un mois, des effets appréciables: des règles moins abondantes, moins douloureuses, une forte diminution de ses allergies...
8 semaines plus tard, elle m’écrit, angoissée, elle est enceinte, elle a peur, très peur... elle suit bien son programme, à la perfection même! Elle a peur quand même, de perdre son bébé, de voir encore son immunité s’en prendre à lui. Mais je sais, je sais ce qui a été mis en place et l’effet que cela est en train de produire.
J’essaie de la rassurer, régulièrement. Mais je vois, elle n’ose pas y croire. Et pourtant elle a des nausées, le ventre tiraille, et pourtant elle n’y croit pas même si elle applique les conseils religieusement.
Moi j’y crois!
Puis viens le jour de l’échographie, ce jour ou à chacune des grossesses précédentes ce si petit cœur était arrêté.
Et puis viens son message! Alors qu’elle est encore dans la salle d’attente! Elle est à 12SA, cette fois c’est gagné, ce petit cœur bat si fort qu’elle en est bouleversée. Elle peut enfin commencer à y croire.
Elle est maintenant à la moitié de sa grossesse les petits coups réguliers de son bébé lui attestent chaque jour que cette fois, elle est maman!
Elle, c’est @mes.mini.etoiles (sur Instagram), une femme remarquable, qui a tout changé pour atteindre son rêve!
Nous la remercions pour sa confiance, mais aussi pour ce qu’elle a fait pour elle et pour son bébé.
N’hésitez pas à la suivre sur ses deux comptes: @mes.mini.etoiles et @a.green.belly.
Notes :
[1] Serapinas, D., Boreikaite, E., Bartkeviciute, A., Bandzeviciene, R., Silkunas, M., & Bartkeviciene, D. (2017). The importance of folate, vitamins B6 and B12 for the lowering of homocysteine concentrations for patients with recurrent pregnancy loss and MTHFR mutations. Reproductive Toxicology (Elmsford, N.Y.), 72, 159‑163. URL: pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/28689805/
[2] Nelen, W. L., Blom, H. J., Steegers, E. A., den Heijer, M., Thomas, C. M., & Eskes, T. K. (2000). Homocysteine and folate levels as risk factors for recurrent early pregnancy loss. Obstetrics and Gynecology, 95(4), 519‑524. URL: pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/10725483/
[3] Chaudhry, S. H., Taljaard, M., MacFarlane, A. J., Gaudet, L. M., Smith, G. N., Rodger, M., Rennicks White, R., Walker, M. C., & Wen, S. W. (2019). The role of maternal homocysteine concentration in placenta-mediated complications : Findings from the Ottawa and Kingston birth cohort. BMC Pregnancy and Childbirth, 19(1), 75. URL: pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/30782144
[4] Asanidze, E., Kristesashvili, J., & Andguladze, S. (2019). CORRELATION BETWEEN LEVELS OF HOMOCYSTEINE, ANTI-MÜLLERIAN HORMONE AND INSULIN RESISTANCE IN PCOS PATIENTS WITH RECURRENT MISCARRIAGE. Georgian Medical News, 290, 25‑29. URL: pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/31322509/